Karma: deci delà, au fil du temps
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Karma: deci delà, au fil du temps |
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Samedi soir, les membres de l'école Diwan ont célébré leur victoire: l'installation du lycée Diwan à Carhaix en 1998, aux halles, autour d'un gigantesque kig-ha-fars confectionné sur les fourneaux de Ti ar Vro par un groupe de parents d'élèves. Ce repas a rassemblé 260 convives, parmi lesquels le maire, M. André Le Roux, et de nombreux élus. Cette partie gastronomique était suivie d'un grand fest-noz avec le groupe carhaisien « Karma », qui compte six musiciens dont cinq jeunes de 16 ans. Cette jeunesse musicienne, dynamique, a été très appréciée. Au cours de cette soirée, les convives ont aussi été divertis par Philippe Balpe à l'accordéon, le bagad de Carhaix, Yann Stervinou, les chanteuses Laurence Fustec et Brigitte Le Corre, ainsi que des élèves de l'école de musique traditionnelle de Carhaix, et bien d'autres encore. Et Michel Luzu, le président de l'école Diwan à Carhaix, ne pouvait que se réjouir à la vue de cette grande soirée de rencontre. Le Télégramme Carhaix
Tous les gens présents au fest deiz qui se déroulait à Korn er Pont dimanche après midi sont tombés d'accord: les futurs grands des nuits celtiques ont entamé une brillante carrière. Le groupe s'appelle Karma et devrait, dans les années à venir, révolutionner la hiérarchie actuelle des groupes qui comptent. Quelques membres de Skéduz, présents dimanche, soulignaient à quel point l'apparition de groupes de la nouvelle génération allait les pousser à se surpasser pour rester au niveau. Les Karma sont six jeunes Brestois, pour une moyenne d'âge de 16 ans. Pour dire, ils ne tournent pas beaucoup dans l'année afin de se consacrer à leurs études. Cette année, ils ont excellemment figuré dans les compétitions où ils se présentaient. Ainsi, ils ont fini seconds d'un concours interlycées à Lannion et premiers des sélections départementales du Kan ar Bobl. Section originale, avec l'apport d'un percussionniste émérite qui martèle le rythme des pas de danse, ils ont enflammé la petite salle de Korn er Pont dès les premiers morceaux. Dans le public, les pieds ont vite démangé et les chaînes de danseurs se sont formées pour un après-midi qui restera dans les mémoires. Ouest-France
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Diwan:
kig ha farz et fest noz dans la bonne humeur
Korn
er Pont: Karma enflamme le fest deiz